Je vais vous épargner un énième débat sur l’utilité et la légitimité d’acheter ou non des liens pour augmenter la popularité de votre site web.
Imaginons que, comme la grande majorité des sites qui se positionnent bien sur Google, vous le faites.
Où devriez-vous faire vos recherches ? Quelles plateformes de netlinking offrent les meilleures opportunités sur le marché français ?
Quel type d’annonceurs êtes-vous ?
Je vois plein de classements de plateformes de liens, mais il n’y a jamais de distinctions entre les besoins.
Mon classement concerne les budgets petits et moyens de netlinking. Si vous bossez sur un gros e-commerce avec un budget de 20K€ mensuel et voulez des liens sur des sites de Presse, ignorez mon article car je n’ai jamais acheté ce type de liens.
En agence ou à mon compte, je suis sur des liens qui se vendent entre 30 et 200€. Mon comparatif des plateformes de vente de backlinks se base sur cette expérience.
1. Getfluence
Getfluence est spécialisé sur les sites « haut de gamme ». En tant qu’éditeur, si vous proposez un site avec peu d’affluence ou qui ne fait pas pro, il est refusé et n’entre même pas dans leur catalogue de sites.
Le tableau de bord Getfluence est des plus simples à prendre en main et vous pouvez facilement trouver les thématiques et metrics qui vous intéressent via les filtres.
Le support est super réactif en cas de besoin.
Parmi l’offre de sites, il y a quelques perles à découvrir. Si vous êtes à la recherche d’un netlinking qualitatif, vous devriez trouver des opportunités intéressantes.
En revanche, vous sortez très vite du budget indiqué dans mon introduction (200€). Les tarifs sont élevés et certaines offres sont même complètement hors marché (mais, il ne faut pas oublier que ce sont les éditeurs et pas la plateforme qui fixe les prix).
Vous avez la liberté de faire vos recherches seul et de voir les noms de domaine révélés. Mais, si vous n’avez pas fait de dépôt au préalable, vous êtes limité à quelques recherches seulement.
Voici un avis complet sur Getfluence.
- (Presque) que des sites de qualité
- Choix autonome parmi les sites
- Plateforme ergonomique
- Tarifs élevés
- Catalogue limité
Cliquez ici pour visiter getfluence.com
2. Semjuice
Je me rappelle encore l’arrivée de Semjuice sur le marché. Les voix les plus critiques se demandaient ce que venait faire ce nouvel acteur dans un marché qui semblait saturé. Quelques années plus tard, Semjuice marche bien et plein d’autres plateformes sont venues avec succès depuis !
J’ai souvent utilisé Semjuice quand je bossais en agence. Vous n’avez pas la maîtrise du catalogue et ne choisissez pas les domaines sur lesquels votre article sera publié. Maintenant que je travaille en tant qu’éditeur indépendant, cela est rédhibitoire, mais en tant qu’agence, la simplicité du procédé aide à faire vite et bien.
Vous choisissez le prix du lien. Bien évidemment, plus le prix est haut, plus le site est attrayant. Puis, tout est géré de A à Z jusqu’à la publication.
Une option d’accompagnement est même disponible pour un véritable suivi de vos campagnes de netlinking au niveau stratégique. N’ayant pas testé, je ne peux pas la juger.
Le rapport qualité/prix est très correct, même si certains spots se retrouvent surestimés par l’algorithme. Vous avez le choix entre des articles de 500 et de 1000 mots. J’adore cette option car avec un article de 1000 mots, vous avez plus de chances d’avoir un contenu de qualité qui se positionne.
En tout cas, si vous souhaitez une campagne gérée entièrement par la plateforme, c’est chez eux que je vous conseille de dépenser votre budget.
Voici un avis complet sur Semjuice.
- Catalogue bien fourni
- Possibilité de déléguer toute la gestion de la campagne
- Article de 1000 mots proposé
- Pas le choix du site de publication
- Quelques sites surcôtés par l’algorithme
Cliquez ici pour visiter Semjuice.com
3. Rocketlinks
Rocketlinks est un acteur historique de la vente de backlinks en France. La société se vante de pouvoir publier sur plus de 20 000 sites web.
Rocketlinks ne possède pas les sites. Vous ne publiez donc pas sur un réseau propriétaire, mais sur des sites d’éditeurs qui ont inscrit leur site sur la plateforme. C’est toujours préférable pour varier au mieux vos liens externes.
J’apprécie la simplicité de la plateforme et la réactivité du service client. Le très grand choix de sites est évidemment la principale force de Rocketlinks.
Les prix sont également très variés. Vous devez prendre le temps de bien trier les sites pour trouver les meilleurs rapports qualité/prix.
Des metrics sont indiquées et filtrables. Mais, ne les prenez pas toujours pour agent comptant. Il y a parfois des statistiques non mises à jour qui peuvent transformer un bon deal en un mauvais, comme une opportunité intéressante en affaire en or.
Si vous pouvez demander une assistance à Rocketlinks pour choisir les médias, je préfère le faire seul.
J’apprécie beaucoup la liberté du type de lien. C’est l’une des rares plateformes à proposer à la fois des liens dans de nouveaux articles, des articles existants, sur la page d’accueil, en sidebar…
J’ai rarement eu de problèmes avec la plateforme de netlinking et une solution m’a toujours été proposée quand c’était le cas.
Cependant, j’ai été déçu d’apprendre dernièrement que certains réussissaient à vendre des liens sur des sites web leur appartenant pas. Rocketlinks semble avoir des défaillances sur les techniques de vérifications de propriété.
Autre petit bémol, les filtres et les affichages des résultats mériteraient d’être plus clairs et plus complets.
- Plus gros acteur français de la vente de backlinks
- Catalogue large
- Choix autonome des spots
- Plusieurs types de liens possibles
- Grande variété de tarifs
- Metrics affichées pas toujours à jour
- Vérification des propriétaires des sites web défaillante
- Limitation du nombre de recherches quotidiennes
4. Soumettre
Soumettre a révolutionné le netlinking en France. Je suis arrivé dans l’univers du SEO peu de temps avant son lancement et j’ai pu voir l’accueil plus que favorable reçu lors de son arrivée.
En quelques clics, vous pouvez commander des liens sur Soumettre. Vous n’avez qu’à choisir le tarif voulu et le nombre d’articles. Pour les agences, la méthode est d’une praticité exemplaire.
Comme Soumettre est arrivé tôt, communique bien, le catalogue de sites est très important car beaucoup d’éditeurs y ont mis leurs sites.
En tant que SEO exigeant, j’ai cependant une liste de bémols. Il y a notamment un fort gap de prix (qui était encore pire avant) avec des articles « Bronze » à 30€, « Silver » à 38€ et « Medium » … à 120€ ! Des prix intermédiaires ne seraient pas de trop.
De plus, vous n’avez aucune mainmise sur l’ancre, à moins de payer un supplément à +30%. Le texte fait généralement 350 mots, ce qui reste assez court et pour 200 mots de plus, vous payez 20€ de plus. Le tarif gonfle donc vite.
Enfin, dans ma stratégie SEO, j’aime placer la majorité de mes backlinks sur des sites dans la même thématique que moi. Or, sur les petits prix, Soumettre favorise beaucoup les sites généralistes avec son algorithme.
Deux bémols à ces reproches. Le premier est le catalogue apparemment très conséquent en gros médias. Comme dit précédemment, je n’ai jamais géré de budgets où l’on achetait des liens à X XXX€, mais Soumettre se targue d’avoir du choix parmi les gros sites de presse.
Ensuite, depuis peu, Soumettre a créé un catalogue ouvert pour ses meilleurs clients. Si vous êtes l’un d’eux, vous pouvez voir les domaines avant d’acheter un lien dessus. Un système que je préconise grandement !
La version « classique » de Soumettre peut être utile pour acheter rapidement une grande quantité de liens en déléguant tout. C’est pratique pour une agence ou un éditeur qui veut des liens pour un grand réseau de sites.
Mais, personnellement, je préfère faire autrement.
Voici un avis complet sur Soumettre.
- Grand catalogue de sites
- Choix conséquent sur les sites Presse
- Fonction catalogue à découvrir
- Manque quelques niveaux de prix intermédiaires
- Options payantes comme l’ancre
- Sites généralistes trop privilégiés par l’algorithme
Cliquez ici pour visiter Soumettre.fr
5. Ereferer
À la base, Ereferer est arrivé avec un service d’annuaires. Vous achetiez alors à petit prix des liens sur des annuaires. Puis, face au succès croissant de la vente d’articles sponsorisés, la plateforme s’est mise à la vente/échange d’articles.
Pendant plusieurs mois/années, Ereferer était spécialisé dans les spots à petits prix.
On retrouve encore aujourd’jui quelques prix qui sont très bas par rapport aux plateformes précédentes, même s’ils sont moins nombreux qu’avant.
Le gros changement s’est opéré récemment puisqu’Emmanuel Higel, le créateur de la plateforme, a incorporé un grand nombre de médias importants comme BFMTV, Ouest France, Sud Ouest… Pour tous ces liens, il est précisé si le lien sera nofollow/dofollow, inclus dans une mention partenaire ou non, limité ou non dans le temps…
La plateforme prend une commission assez faible sur les ventes d’articles « standard ». Je ne sais pas si la commission est plus forte avec les gros médias.
Bien qu’encore imparfaite, la fonction de tri a beaucoup progressé et vous trouvez rapidement des sites qui vous intéressent. Selon ce qui a été choisi par l’éditeur, vous pouvez soit envoyer votre article, payer la rédaction faite par l’éditeur, payer la rédaction faite par Ereferer.
Pour promouvoir quelques sites satellites ou dans des univers peu concurrentiel sans un gros budget, Ereferer peut faire le job.
Il y a néanmoins quelques gros inconvénients par rapport aux plateformes précédemment citées. Le premier, et pas des moindres, est que l’éditeur peut parfois refuser ou ne pas répondre à votre demande. Or, si vous payez un article de 1000 mots sur un sujet collant avec un blog pour que l’éditeur le refuse finalement, c’est dommage ! Cela m’est arrivé avec un contenu de 1600 mots compliqué à réutiliser, car très niché…
À la suite de cet article, Emmanuel m’a contacté pour dire qu’il allait bientôt changer cela en remboursant la rédaction des articles refusés.
Il n’y a également pas de vérification sur la propriété des sites. Il y a donc des petits malins qui ont des accès auteur sur des sites ne leur appartenant pas qui vendent sur Ereferer et si le propriétaire s’en rend compte, vous aurez sûrement votre article et/ou lien supprimé…
Ereferer est donc en plein virage, passant d’un netlinking d’entrée de gamme à un catalogue beaucoup plus complet avec une partie « premium » qui ne demande qu’à se développer.
S’il y a encores quelques faiblesses, je le garde quand même comme une ressource intéressante pour trouver des backlinks français.
- Prix bas
- Commissions faibles
- Refus possible de la publication malgré le paiement de la rédaction
- Liens parfois vendus par des personnes ne possédant pas le site
6. Dealer de temps
Très récent, Dealer de Temps propose comme Ereferer (voir juste après) le choix entre échanger et vendre des articles. Si vous êtes éditeur, vous pouvez publier des articles sur vos sites pour récupérer des crédits que vous utilisez ensuite pour obtenir des backlinks. Vous pouvez aussi acheter des crédits avec de l’argent trébuchant.
Le catalogue est encore étroit, mais comme le site vient de se lancer, nul doute qu’il va grandir.
Le premier point positif est la présence de quelques gros sites pour des prix faibles par rapport à la qualité. Mais, attention, ne comparez pas un lien Presse acheté sur Dealer de Temps à une personne possédant un compte auteur modéré à un lien payé bien plus cher, mais directement auprès du journal.
La plateforme est simple à utiliser, notamment avec la gestion de la Wishlist et des campagnes. Le créateur apporte de nouvelles fonctionnalités.
Les prix dépendent vraiment de l’éditeur qui a mis le site. Certains sont très peu chers par rapport à la qualité, tandis que d’autres sont peu intéressants.
Comme aucune vérification de propriété est faite, il est possible de proposer des sites sur lesquels on possède un simple accès. Or, un lien mis via un compte auteur peut rapidement sauter si le propriétaire le veut…
Il arrive aussi assez souvent que la demande de publication ne reçoive aucune réponse. Vous perdez du temps voire de l’argent avec un article rédigé sur-mesure pour un support qui ne le publie finalement pas.
Le service client semble particulièrement honnête. J’ai eu le remboursement de crédits car un éditeur avait revendu le site et enlevé mon article. Je n’ai pas eu de demande à faire au support. Quand il l’a remarqué, il a immédiatement remboursé.
Avec un business model semblable à Ereferer, Dealer de Temps me séduit. Dans une stratégie de diversification et avec un petit budget, je vous recommande de l’essayer.
- Prix bas
- Quelques supports de qualité
- Créateur réactif
- Choix restreint
- Absence de réponse régulière aux demandes de publication
- Liens parfois vendus par des personnes ne possédant pas le site
7. My backlink
Grosse différence avec tous les sites mentionnés avant : Myback.link repose sur un réseau propriétaire. Cela signifie que tous les sites proposés par la plateforme appartiennent au créateur.
Cela a quelques avantages, notamment sur la certitude que le lien va rester sur la durée. Mais, il y a aussi des inconvénients majeurs. En termes de traçabilité, quelques clics suffisent pour connaître tout le réseau de sites (la liste est en clair sur la plateforme), et les réseaux pénalisés entièrement par Google, cela arrive.
Ensuite qui dit réseau propriétaire, dit choix restreint de sites.
Des qualités certaines se dégagent de myback.link, en plus du sérieux et de l’amabilité de son créateur. Techniquement, quelques options pratiques sont à portée de clics comme des commandes via Excel ou de la programmation d’articles.
Les tarifs sont dans la fourchette basse du marché et vous avez une grande liberté pour le choix des ancres, voire pour faire deux liens dans un même article.
Un système de remise existe même si vous commandez plus de 5 liens dans le mois ou si vous fournissez le contenu.
Cependant, beaucoup de sites ont peu d’articles ou ne se positionnent très bien sur Google. Personnellement, je préfère toujours avoir des liens sur des blogs qui réussissent à bien figurer sur quelques requêtes Google.
Les thèmes des sites sont très basiques et indiquent clairement que vous êtes sur de la stratégie de réseau de sites privilégiant la quantité à la qualité.
Comme l’indique honnêtement le créateur, faire du netlinking sur cette plateforme est préférable pour du Tiers 2 (en gros, pour faire des liens à d’autres liens plutôt qu’à votre site principal) ou pour des thématiques peu concurrentielles.
Enfin, comme il a lancé un très gros projet de rédaction (white.page), myback.link semble un peu délaissé avec désormais très peu d’ajouts de sites au catalogue.
- Prix bas
- Fonctionnalité intéressante
- Réduction sur le volume possible
- Deux liens par article possible
- Réseau de sites propriétaires
- Peu de nouveaux ajouts
- Sites conçus rapidement et mal positionnés sur Google
8. Seedingup
Quand j’ai débuté le SEO, beaucoup de webmasters conseillaient encore d’acheter des liens via Seedingup. Mais, désormais, je trouve la plateforme obsolète.
Elle a quelques avantages, notamment le fait d’être internationale. Si vous souhaitez des liens étrangers, c’est donc une alternative intéressante.
Mais pour du backlink français, le catalogue est faible, le tableau de bord est peu pratique, l’offre qui se veut large (article, article vidéo, test de produit, vidéo, réseaux sociaux) est plus compliquée que nécessaire.
Bref, c’est une plateforme que je n’utilise pas.
- Possibilité d’acheter des liens internationaux
- Catalogue étroit
- Plateforme vieillotte à utiliser
- Offre compliquée à trier
9. Wewant.link
J’ai deux numéros « 10 » dans ce classement et ils concernent deux plateformes essayées, mais trop récentes pour les juger réellement.
Wewant.link est un réseau de sites propriétaires qui s’est créé en 2020. Il a donc des avantages et inconvénients similaires à Myback.link.
Les prix restent mesurés et il y a quand même quelques sites de qualité. Le processus de commande est rapide et sur mon unique essai, j’ai été livré vite et bien.
C’est donc une plateforme de netlinking que je vais surveiller dans les prochains mois.
9bis. Boosterlink
Boosterlink a peu communiqué sur son lancement et j’en ai vraiment peu entendu parler. Sans un démarchage par mail, je ne l’aurais même jamais trouvé.
L’offre est pour le moment faible avec un catalogue restreint. On retrouve certains sites que l’on voit déjà un peu partout sur les plateformes et beaucoup d’éditeurs masquent la visibilité de leur URL.
Il y a la possibilité d’acheter un article rédigé ou d’envoyer son propre article pour économiser un peu d’argent et surtout, maîtriser le contenu.
Pour le moment, le tout est jeune et n’est pas au même niveau de gros acteurs déjà bien établis, mais j’aime bien la gestion du projet et les fonctionnalités. J’attends donc la suite pour juger, m’enflammer ou devenir bougon !
Les plateformes pas chères : Accesslink, Linksgarden
Outre tous les sites mentionnés précédemment, j’ai également testé Accesslink (voir mon test d’Accesslink) et Linksgarden (j’ai finalement testé Linksgarden dans un nouvel article).
Accesslink vend du lien discount à 10€ l’article publié. Pour ce prix, ne vous attendez pas à un super blog. Mais, la livraison est express et certains supports ont des metrics séduisantes (Trust Flow, nombre de domaines référents…). Si votre objectif est d’augmenter les metrics de votre propre site, le rapport qualité/prix est top. De plus, cela peut vous servir à varier vos ancres de lien à petit prix.
C’est donc intéressant, mais ne peut pas constituer votre seule technique d’acquisition de liens externes. De plus, vous n’avez aucune maîtrise du site sur lequel est posté votre lien et ces derniers ont souvent un design sommaire (mais bon, pour 10 balles, faut pas s’attendre au Figaro !).
Pour du lien plus qualitatif, le propriétaire du site propose avec son agence 1èreplace du lien de meilleure qualité. Ce n’est pas une plateforme, mais plutôt un service de courtier en backlinks et j’ai à chaque fois était satisfait de son travail.
Linksgarden est aussi un nouveau venu et comme Accesslink, il s’agit d’un réseau de sites propriétaires avec une offre large de petits prix (les prix vont de 10 à 50€). Vous avez accès à une partie des URL sur le tableau de bord et pouvez donc découvrir (et filtrer) quelques statistiques avant d’arrêter votre choix de supports pour vos backlinks.
Les spots les plus chers ont des metrics très intéressantes sur le papier, mais sur tous les sites testés, il y a un manque pour moi : les sites ne se positionnent pas sur Google. Je l’utiliserai donc comme Accesslink pour doper ses propres stats, varier son profil de liens…
Plateformes non testées
Déjà plus de 3200 mots, 13 plateformes et vous êtes encore avec moi ? Bravo, vous êtes un vrai premier de la classe !
Et bien, sachez que je n’ai pas tout cité. La vente de liens étant rémunératrice, beaucoup se sont lancés dans l’aventure.
Le plus gros manque dans cette liste est sûrement netlinking.fr. Ce réseau de sites propriétaires séduit, selon les échos que j’ai eu, beaucoup de monde. Comme je n’ai pas testé (juste un compte créé dessus, mais aucune commande), je ne m’avancerais pas.
Il existe Vipseo qui souhaite avoir un catalogue avec des sites que l’on ne voit pas sur chaque plateforme. Je ne l’ai jamais utilisé pour acheter des liens, mais comme vendeur, elle est très bien. Elle mérite donc l’essai.
Develink se positionne davantage comme Getfluence avec des supports de qualité sur des sites appartenant à des éditeurs tiers.
Je peux aussi citer Synapsis.link qui vend sur un réseau de sites propriétaires censé être sans footprint. Selon l’annonce faite par le site, la puissance des spots est testée en amont. Encore une fois, comme je n’ai jamais essayé, je ne m’avance pas.
Récemment, je me suis inscrit sur MisterGoodLink. Elle est la preuve que les plateformes de netlinking en France n’ont pas fini de se créer, même si le marché devient de plus en plus dur.
Et je termine avec un dernier réseau de sites propriétaires qui possède un bien joli nom de domaine : backlinks.fr. Un peu plus de 1000 sites sont disponibles.
Passionné de web, SEO, d’entrepreneuriat et d’organisation, je partage avec vous sur ce blog conseils et réflexions.
DENIS REPERANT, Editeur de sites web